Témoignages
"Le programme était 1er en France en 2012 quand je l’ai intégré, ce qui était déjà un atout et un signe de reconnaissance très fort. Le fait que le programme soit bilingue français/anglais m’intéressait beaucoup, car j’avais déjà à l’époque l’envie de partir à l’étranger. Par ailleurs, les nombreuses activités prévues par le programme étaient attractives : Open 13, travail avec Uhlsport et Oreca, voyage d’études à Munich… J’ai été ravie de ce mastère qui m’a donné les clefs pour comprendre le milieu de l’événementiel et du marketing sportif. Aujourd'hui, je travaille au Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques Rio 2016, plus spécifiquement au département des Press Operations. L’objectif de ce département est de faciliter et optimiser le travail de la presse écrite, des photographes et des broadcasters non détenteurs de droits, pendant les Jeux, ce qui représente une population d’environ 6000 accrédités."
Je suis en 1ère année du MSc International Sport & Event Management à KEDGE. Depuis janvier je fais un stage de 6 mois à l'Olympique de Marseille. Je suis Community Manager. J'alimente tous les jours la page Facebook et le Twitter de l'OM. J'essaie de produire du contenu pour 8 millions de followers. Je suis avec la tribune presse. D'abord il y a l'avant-match. Je vais m'occuper de filmer les vestiaires, le tunnel, le bord du terrain et aller en tribune presse pour commenter le match. Puis vient la zone mixte avec les interviews et la conférence de presse. Avec ce que fais je pourrai accéder plus aisément aux clubs de foot, de rugby ou à des enseignes sportives plutôt qu'à un autre domaine, d'où mon choix de carrière pour me spécialiser dans le sport et le commerce, pour unir mes 2 passions. Un conseil à donner, ce serait surtout de s'intéresser au foot, d'être très organisé. C'est très important pour tenir un planning, communiquer avec plusieurs équipes et ne rien lâcher, car parfois, il y aura des matchs tous les 3 jours. ça va s'enchaîner. Je suis fan de foot et voir des joueurs chaque jour, parler avec eux, un simple bonjour ça illumine ma journée.
Déjà diplômé du programme Cesemed, j’ai rejoint le Master afin de compléter mon profil, de me doter de compétences spécifiques qui feraient la différence afin de lancer ma carrière. Je connaissais le programme de par sa réputation, et je l’avais déjà envisagé comme suite à mon premier diplôme. Ce que je suis venu chercher dans ce programme, c’est la triple compétence dans des domaines clés de l’économie ; le commerce international, le transport et la logistique. Je cherchais à acquérir des compétences de spécialité, qui me permettraient de me faire remarquer, j'en garderai trois points majeurs. Tout d’abord, des compétences, sur des sujets précis, techniques, et importants sur plusieurs aspects des entreprises. Ensuite, grâce à ces compétences, une capacité d’adaptation à de nombreux métiers dans des domaines différents, allant de la négociation jusqu’à la gestion d’une chaîne de production. Et enfin, et sans doute celui que je n’attendais pas, j’ai pu développer au cours du programme un savoir-être ; c’est au cours de cette année que j’ai traversé la frontière entre l’étudiant et le professionnel. Les études de cas présentées devant des jurys de professionnels notamment permettent de réellement passer un cap, à la fois sur le plan des compétences et sur le plan personnel. Ayant eu l’occasion de travailler dans le secteur automobile lors de stages au cours de mes études, je m’y suis naturellement dirigé après le Master. Le programme doit normalement se conclure par un stage de fin d’études. L’école nous laissant une certaine liberté dans la construction de notre parcours, j’ai pris la décision de ne plus passer par la case stage, et j’ai donc centrer mes recherches sur un premier poste. J’ai décroché un contrat VIE (Volontariat International en Entreprise géré par l’organisme Business France) en Italie auprès d’un des plus grands groupes du secteur automobile. Au sein de la division logistique européenne, j’ai développé un programme d’automatisation de gestion des stocks de pièces détachées. Je suis aujourd’hui revenu en France à l’issu de mon contrat VIE, pour un poste en tant qu’agent de marques dans le sud de la France. Toujours au cœur de l’import-export, je suis en charge de la représentation, du développement, du transport et de l’organisation du business de mes clients (Carrelages et salles de bains haut de gamme) dans les régions PACA et Corse. Un M.Sc. comme le MTLCI est un bagage solide lorsque l’on cherche à s’insérer sur le marché du travail, notamment dans un contexte international. En effet, il donne des garanties au recruteur, tant au niveau des compétences acquises par l’étudiant au cours de son programme, mais également et surtout, point essentiel pour un recruteur, le programme nous donne une réelle capacité immédiate d’adaptation à un contexte professionnel, à la prise de responsabilité dans un milieu où les années d’expérience sont souvent requises. Un diplôme seul ne suffit pas, mais de réelles compétences métier, une ouverture d’esprit, et une capacité à s’inscrire immédiatement comme une ressource de qualité pour une entreprise sont des éléments qui font la différence dans un marché de l’emploi où la concurrence est immense.
Yitao souhaiterait développer une carrière dans l'industrie de la mode et du luxe.
Il est aujourd'hui en stage en approvisionnement chez Inditex, pour la marque Pull&Bear, à Shanghai (Chine).
Après son Master, Yitao aimerait ensuite travailler pour une entreprise française dans le luxe, installée à Shanghai.
« Je suis partie six mois à Dublin, en échange. Suivre des cours en anglais, s’obliger à aller vers les autres, se dépasser… Partir six mois dans un pays étranger, il n’y a rien de mieux pour gagner en maturité et s’ouvrir des portes pour l’avenir. Mon souhait à présent ? Faire une carrière à l’international ! »
« Après le Canada et le Mexique en tant que cogérante d’un hôtel de luxe, je termine mon
double master en finance à Lisbonne. Quand je sortirai de l’EBP, ce sera avec un Bachelor, deux masters et une expérience incroyable ! »
Nicole est en quatrième et dernière année de Bachelor à l'IFC de Renmin University, à Suzhou, où elle étudie principalement la finance.
L'année dernière, elle a été sur le campus de KEDGE Bordeaux dans le cadre de son double-diplôme, où elle a choisi des cours de Business et Management. Elle a été ambassadrice du Career Centre et déléguée de section 3 de son programme.
« Ce mode de formation permet de mettre en pratique les connaissances théoriques et d’accroître ses compétences. À la fois étudiant et salarié, on développe une “conscience professionnelle” que l’on n’a pas forcément dans un stage traditionnel. J’ai choisi de poursuivre dans cette voie, en Master 2 du Programme Grande École, toujours dans la même entreprise. »
« J’ai souhaité intégrer le KEDGE Bachelor, pour deux raisons. La première, parce que je voulais une formation polyvalente et très concrète, dès le départ, sans passer par l’université. La seconde, parce que je désirais m’investir dans une association. Je n’ai pas été déçu. Le tissu associatif de l’école donne tout son sens à la vie étudiante et insuffle un réel esprit d’équipe. »
Au contact de nombreux professionnels, nous voyons bien la demande montante de talents hybrides qui maîtrisent à la fois les enjeux de la finance ainsi que ceux de la durabilité et de la responsabilité