Témoignages
Entre ma formation et mon envie de monter ma boite, il ne m’a pas fallu trop longtemps pour que l'idée de monter une brasserie de bière artisanale et bio (je suis assez engagé sur l’environnement) se forme. J'ai donc fini par franchir le pas et suis parti me former chez un pro dans une brasserie dans le nord de la France. Je pense faire partie des diplômés de KEDGE qui se sont réellement servis de l'ensemble des compétences accumulées durant leur scolarité, puisque j'ai dû m'occuper aussi bien de la compta, que des finances, stratégie, logistique, marketing, vente, communication, web, design...
Ma première expérience s’est faite en Italie, un stage de volontariat avec les handicapés pour leur apprendre l’anglais durant tout l’été. J’ai également fait un autre stage à la chambre de commerce Italienne de Marseille, et ce stage était axé en marketing et en communication. J’ai également choisi de partir à Taïwan pour mon second échange en université. Et par la suite j’ai eu la chance de pouvoir partir en Malaisie pour y faire mon stage, toujours à la chambre de commerce, mais cette fois-ci plus orienté en ressources humaines. Après mon diplôme, j’ai directement été employée chez Amazon à Prague en tant qu’assistante RH. J’ai toujours été très curieuse et j’adore voyager. De plus, je pense qu’il est intéressant de travailler dans un contexte international pour développer son ouverture d’esprit, ses compétences et son réseau! Ma formation a été assez générale et internationale comme mon travail. Je suis assistante ressources humaines depuis un an et demi. Je supporte les employés d’Amazon au Royaume Uni, de leur premier jour à Amazon jusqu’à leur départ. Toutes les grandes entreprises sont à Prague, donc pour chercher un travail c’est vraiment un plus.
J'ai travaillé 3 ans à Londres: pour Google (Google Glass et Google Maps), pour une start-up et une entreprise de technologies événementielles. J'ai beaucoup appris et j'ai adoré chacun de mes jobs, mais je cherchais toujours un domaine où je puisse avoir un impact positif sur le monde. J'ai quitté mon job à Londres pour voyager 14 mois en Amérique du Sud. À mon retour à Marseille, ville où j'ai grandi, je trouve un job dans l'organisation de congrès. J'y reste 6 mois mais rien à faire, bosser dans un bureau pour des événements financés par des laboratoires, ce n'est pas mon truc. Je décide donc de partir en Inde me former comme professeur de Yoga. Depuis j'enseigne à Marseille et c'est un vrai bonheur de voir mes élèves quitter mon cours sur un petit nuage ! KEDGE a renforcé mon envie de voyager et de découvrir le monde. Grâce à mes échanges j'ai appris à me débrouiller à l'étranger et à être autonome. Trouver quelque chose qui vous rend heureux, qui vous fait vibrer et qui amène du bonheur autour de vous. Et si ce quelque chose c'est le yoga, alors foncez !
J’ai suivi la formation IBBA. J’ai fait un an et demi à Kedge avec des cours généraux comme le management, le marketing, les ventes… J’ai ensuite réalisé 6 mois de stage dans l’entreprise ACCESO. Pour valider mes deux ans d’expérience internationale j’ai commencé par faire un an en Pologne. J’étais à l’université de Varsovie dans laquelle je me suis spécialisée sur les ventes. Ensuite je suis allée 6 mois en université à Mumbai où j’ai réalisé mon master 1 en suivant des cours tels que Vente, Détail, Stratégie et Finance. Après ça, je suis arrivée à Kuala Lumpur pour un stage de 6 mois et je suis restée à la suite d’une proposition d’embauche. Kedge m’a permis d’avoir une ouverture internationale. Lorsque je suis arrivée à Kedge je n’étais pas très à l’aise en anglais et le fait d’être mélangé avec des étrangers et d’avoir que des cours en anglais m’a permis d’avoir plus confiance en moi. J’ai pu découvrir des nouvelles façons de penser, et de travailler en étant avec des étudiants asiatiques, américains ou encore sud-africains. Je vais prochainement rentrer en France pour suivre une formation d’un an à l’ISCAM - Institut Supérieur du Commerce Automobile du Mans à l’école ESCRA car je souhaite travailler dans l’automobile par la suite. J’aimerai après retourner en Asie ou au Moyen-Orient.
J'ai intégré le Programme IBBA de Kedge directement après mon Bac Scientifique. De mon coté j'ai opté pour ce programme car j'avais une véritable envie de partir vivre à l'étranger sur une période assez longue et pas seulement sur un semestre d'échange. Les 4 ans passés ont véritablement été riches d'enseignement, notamment côté humain. Que cela soit à Marseille ou en Espagne. L'arrivée dans un nouveau pays sans en maîtriser la langue n'est pas toujours aisée mais forge bien le caractère. Et même si pour mon cas il s'agissait de l'Espagne, qui reste assez proche en terme de culture, mes 2 années passées à Valence et Madrid ont largement contribué à me faire grandir. J'ai commencé chez le groupe Uhlsport, un équipementier sportif basé dans la région. Apres un bref début en tant qu'assistant marketing on m'a très vite confié la gestion de la marque Canterbury dans le milieu du rugby, puis quelques temps après celle de Spalding dans le basket. En même temps je m'occupais également de la gestion des grands comptes type Decathlon, Intersport, Amazon... Pendant 6 ans j'ai pu assumer de belles responsabilités, me créer un véritable réseau dans le mieux du sport et acquérir de sérieuses compétences en matière de distribution et de gestion de marque, de sponsoring... J'ai ensuite effectué une année au sein d'un autre équipementier sportif, Hungaria. En parallèle de ces 7 années, j'ai créé, puis été associé de différents blogs de marketing sportif comme digitalsport.fr ou comme c'est toujours le cas sur sportbuzzbusiness.fr Une experience qui m'a permis de pousser encore un peu plus mes compétences dans le domaine et de rencontrer beaucoup de dirigeants très inspirants. C'est notamment à la suite de rencontres que je me suis lancé dans l'aventure Shapeheart.Je suis donc actuellement entrepreneur en start up. Chez Shapeheart, nous concevons des brassards de sport et de running innovants et connectés. J'ai toujours eu envie de me lancer dans l'entreprenariat, il fallait attendre la bonne opportunité, croire vraiment à 100% en un projet, ce qui est le cas aujourd'hui. Nous avons déjà gagné le "prix d'innovation" Fnac Intel en 2016, ainsi que le "prix de l'innovation running" Runners world au CES 17. Nous avons aussi été sélectionné par Business France à 3 reprises pour représenter la French Tech lors de l'IFA 17 et des CES 17 et 18 ! L'objectif est de developper Shapeheart en France. Car meme si nous avons de beaux contrats de distribution la route est encore longue. Et puis, bien sûr, developper la marque à l'international, ce que nous avons déjà commencé à faire depuis quelques semaines. Nous sommes actuellement en pleine levée de fonds afin de pouvoir accélérer et nous deployer plus fortement en Europe. Nous levons auprès de fonds mais également de business Angels. Je pense que la grande force de Kedge a été de me permettre de developper une vraie culture business généraliste. De m'ouvrir l'esprit sur beaucoup de domaines et évidemment de m'ouvrir l'esprit sur le monde extérieur. Car encore une fois, passer plus de 2 ans en échange permet véritablement de grandir plus vite. Qu'ils le fassent! Entreprendre reserve son lot de surprises, des haut et des bas mais c'est véritablement une superbe aventure. Cela permet d'apprendre très vite, si on en a le tempérament.
Je suis entré à Kedge juste après avoir obtenu mon baccalauréat. J'y ai intégré le cursus IBBA avec l'option double-diplôme qui m'a permis de vivre à Valence en Espagne pendant la moitié de ma scolarité. Depuis très jeune, j'ai été attiré par les arts en général et notamment par la musique et la photographie, ce qui m'a poussé à faire des stages dans le domaine de la publicité créative qui m'a permis de toucher un peu à tous les domaines. Partir vivre à l'étranger grâce au cursus IBBA m'a ouvert de nouvelles portes et m'a permis de découvrir progressivement ce que je voulais devenir. J'ai entamé en parallèle de mes études en Espagne, une formation en réalisation cinématographique à Barcelone au sein de l'Escac, la plus grande école de cinéma d'Espagne où j'ai pu tourner mes premiers films. Une fois mes diplômes en poche, je suis rentré en France où j'ai produit France 2000, le premier film de Jim Chawki, avant de monter ma société de production de films pour pouvoir financer mes propres projets. Aujourd'hui, j'ai monté en complément de ma société de production de films parisienne une autre boite de production implantée à Barcelone où je travaille essentiellement dans la création de contenus publicitaires et digitaux avec deux autres associés sous le nom de Trio de Doses. Au quotidien, nous travaillons au démarchage de clients, à la production de clips musicaux et de pub et divers contenus digitaux, mais aussi à l'écriture de scénarios et à la recherche de financements pour réaliser nos films entre la France et l'Espagne. Plusieurs de nos courts-métrages ont été sélectionné à de nombreux festivals internationaux à New-York, Paris, Madrid et dernièrement au Centre de Culture Contemporain de Barcelone (CCCB). Nous avons deux principaux objectifs à moyen et long terme. Nous voulons développer deux pôles indépendants entre nos activités relatives au cinéma et à la création de contenus publicitaires afin d’obtenir une certaine autonomie. Concrètement cela veut dire obtenir une certaine stabilité financière en travaillant de manière fréquente et régulière pour les marques et les agences de publicité pour que nous ayons de l'autre côté du temps et de l’argent pour développer nos projets de cinéma. En quoi votre scolarité à KEDGE Business School vous a aidé à vous accomplir professionnellement ? Kedge m'a permis de rencontrer plein de personnes de milieux et d'horizons différents que je n'aurais jamais pu connaître si je n'avais pas fait ce cursus en plus d’acquérir une vision entrepreneuriale et de devenir bilingue. Grâce à ce parcours et à mes rencontres, je me suis ouvert au monde et j'ai gagné en confiance en moi pour le lancement de mes projets professionnels qui requièrent un investissement personnel très important. Viser l’excellence, ce qui suppose de vivre fort, d’aimer passionnément ce vers quoi on se dirige et d’y mettre beaucoup d’ardeur.
La première partie de la formation, la plus généraliste, m'a donné les bases du marketing et du business. A Londres, j'ai notamment appris à travailler à l'anglo-saxonne. Ces deux années ont été fantastiques à tous points de vue. Ensuite, mon master qui m'a passionnée du début à la fin a confirmé mon appétence pour les médias : édition, audiovisuel... Au cours de ces années, j'ai eu la chance d'avoir été encadrée par des professionnels incroyables ; l'un des enseignements qui me restera à jamais gravé en mémoire est de "toujours vérifier". J'ai créé un magazine qui s'appelle FLUSH et qui observe le monde par la lunette des toilettes... C'est l'actualité (dé)culottée ! Tout a commencé il y a cinq ans, lorsqu'à côté de mon travail, je tenais un blog dans lequel j'écrivais des billets d'humeur sur les WC des bars et des restaurants. Abonnée à des alertes d'actualité je me suis rendue compte du foisonnement d'enjeux de société en lien avec ce secteur : santé, écologie, mixité, économie... D'un autre côté, j'ai été approchée par des acteurs de cet écosystème qui n'avaient pas de canal de communication de référence. Je me suis donc aperçue que j'avais d'un côté une ligne éditoriale innovante, et de l'autre, un modèle économique viable notamment grâce à la publicité. Comme l'envie d'entreprendre me titillait depuis toujours, j'ai pensé : c'est ça ! C'est le moment ! Le chemin a été long jusqu'à la sortie du premier numéro, j'ai vraiment pris le temps de consulter des professionnels de la presse et du sanitaire, de construire un business plan... FLUSH plaît et son démarrage est prometteur ; maintenant nous devons mettre le turbo ! Concrètement, pour ce tour de table je recherche 3 ou 4 investisseurs privés qui auront un coup de coeur pour FLUSH. Une fois la marque bien installée, nous aurons une boutique physique, et pourquoi pas se développer à l’international : FLUSH UK, FLUSH Italia…
Je n'avais qu’une envie, c’était de partir à l’étranger. J’ai donc choisi de faire une école de commerce et d’avoir double diplôme avec un pays lointain, une langue et culture très différente. J’ai intégré le programme IBBA aujourd’hui dénommé International BBA à Marseille, qui me donnait l’opportunité de partir soit en Inde soit en Chine, et j’ai choisi la Chine. J’ai passé deux ans à Marseille puis deux ans à Shanghai en Chine. A la base, j’ai un profil plutôt financier. J’ai effectué mon stage de fin d’étude en Finance à Shanghai dans un groupe allemand ZEISS spécialisé dans l’optique. On m’a ensuite proposé d’aller en Allemagne pendant un an, où j’ai fait un graduate program. J’ai fait deux missions de 6 mois, la première en gestion de trésorerie et la seconde en contrôle financier. Je me suis dit que je ne voulais pas travailler dans la finance, dans un grand groupe basé en Allemagne, ça ne m’intéressait pas, même si j’avais l’opportunité de rester. J’ai cherché ce que je voulais faire, et ce qui me branchait c’était l’aéronautique, les avions. J’ai toujours été botté par ça, j’ai fait des cours de pilotage, etc. Du coup, je me suis dit que mon rêve était d’intégrer Airbus. J’ai donc fait un master à l’ESCP-Europe Paris, en partenariat avec Airbus, j’ai passé un mois chez eux pour être formé à la gestion de projet aéronautique. Nous avons travaillé sur des case study avec des gens qui travaillaient chez Airbus, 50% des gens travaillaient là-bas, c’était un programme diplômant pour eux et pour nous une spécialisation. A la suite de ça, j’ai voulu faire un stage chez eux. J’ai forcé, j’ai trouvé un stage dans la filiale d’Airbus qui fabrique les fauteuils d’avion pour les compagnies aériennes, STELIA Aerospace. Le nom est différent car nous équipons aussi bien les Airbus que les Boeing. J’ai assisté pendant 6 mois l’équipe Asie, qui est basée à Bangkok, depuis la France, sur des appels d’offres de différentes compagnies aériennes. Ensuite, j’ai obtenu de partir en VIE à Bangkok pour m’occuper du développement commercial afin de vendre des fauteuils dans la zone Asie-Pacifique, de l’Inde en passant par la Corée du Sud, jusqu’à Fidji, Nouvelle Zélande, Maldives, etc. Il s’agit principalement de développement commercial, de gestion de projet, des réponses aux appels d’offres, beaucoup de prospection, de la gestion client.Pendant deux ans en Chine, j’avais vraiment une appétence pour le chinois, l’Asie, apprendre la culture et les langues asiatiques, en particulier le chinois. Après ces épisodes en France et en Allemagne, je voulais repartir. J’ai choisi Bangkok pour le côté asiatique, pour travailler avec des compagnies chinoises. Une grande partie de mon temps je me déplace pour visiter ces compagnies, en Chine, à Singapour, en Indonésie qui ont des interlocuteurs chinois ou d’origine chinoise avec qui je parle donc un peu chinois. Quand tu leur dis que tu as étudié en Chine, que tu arrives à avoir une petite conversation, cela aide beaucoup la relation, surtout en tant que Sales.
Mon rêve c’est de vendre des avions. L’ambition dans 5 ans est d’avoir un poste chez Airbus ou ailleurs, d’être en contact avec des compagnies aériennes dans l’objectif de vendre des avions. La Thaïlande est pas forcément un pays cible pour le job que je souhaite faire. Mais l’Asie oui, notamment Singapour, Indonésie, etc.
Tout d’abord KEDGE m’a permis de vivre deux ans en Chine, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Cela m’a donné une ouverture d’esprit énorme sur le monde. De travailler en groupe avec différentes nationalités quand j’étais à Marseille. KEDGE permet au travers du parcours une réelle ouverture sur le monde.La formation que donne KEDGE permet d’avoir des bases, de comprendre et d’apprendre sur différents sujets. Lorsque tu travailles, que tu es en stage, tu peux mieux comprendre et parfaire par toi-même aux vues des bases que tu as eues.
Ce que j’avais apprécié c’est les Pro Act et les associations, qui sont un élément important de l’école. J’étais responsable partenariat de la COBFI en 2011. J’avais 19 ans et je devais chercher des sponsors. Tu dois te mettre dans la peau d’un professionnel. Pour former à un futur job de commercial c’était très bien.
« Membre du comité pédagogique avec d’autres Meilleurs Sommeliers du Monde, je dispense auprès de chaque promotion une formation autour des accords mets et vins. Il s’agit de l'un des éléments clés de notre métier, celui qui crée des synergies et magnifie notre profession. L’Union De la Sommellerie Française soutient la formation d’excellence dispensée par WorldSom Bordeaux depuis son origine. »
« WorldSom représente une belle opportunité de transmettre les savoir-faire et savoir-être des sommeliers. J’ai toujours pris beaucoup de plaisir à y enseigner. Le partage d’expérience fait la richesse des contenus. »